Freesby
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 Nouvelles introduction

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Miss Corbac
.: Fondatrice Barjot:.

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Miss Corbac


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MessageSujet: Nouvelles introduction   Nouvelles introduction EmptyVen 26 Juin - 21:11

Héhéhé ! YEAH ENFIN FINIS !!! =D

Vous êtes là, assis sur une banquette au fond d’une taverne calme et silencieuse, le patron essuie ses verres ainsi que ses chopes en grommelant quelques paroles dans sa barbe. Il est petit, gros, une voie bourrue et grave, d’un geste, il essuie ses mains graisseuse sur son tablier blanc tirant vers le gris. Il se glisse devant son comptoir, s’approche de vous. Vous inspecte d’un regard curieux et froid avant de prendre un carnet, un crayon, posant son regard sur la feuille blanche.

    « Vous voulez quoi ?
    -… »

Vous ne pouvez rien répondre, vos yeux se posent sur le patron de la taverne, vous parcourez son crâne dégarnis, son visage aux traits durs qui ont parcouru le temps, son épaisse barbe qui mange tout le bas de son visage de couleur noire. Vous ne savez pas quoi prendre, quoi demander, l’homme vous donne une carte. Sur cette carte, il y a indiqué «la carte des royaumes». Votre regard se relève vers le patron qui fait un léger signe de menton vers son enseigne «l’auberge des mondes». Curieux, vous ouvrez cette carte ou trône en lettres d’or et majuscules un nom encore inconnu à vos oreilles «Freesby». Le patron sourit doucement, d’un sourire carnassier, vous n’avez pas le temps de regarder que vous sentez déjà votre âme happée vers ce menu étrange.
Entre peur et envie, longue hésitation, puis la décision. Vous plongez dans un monde effrayant, d’où vous sortirez indemne… Ou pas.
A travers ce menu, vos yeux lisent des noms de royaumes, de villes, d’endroits, votre esprit voyage. Les humains, les doux humains, les simplistes humains, mais les puissants humains, vous rencontrez la hiérarchie, la discipline militaire, le sang, l’effroi, la gaieté des enfants jouant dans la rue d’un petit village.
Vous voyez passer deux enfants qui jouent à la guerre contre des ennemis imaginaires. Lentement, vos yeux regardent vos pieds, puis de petits cailloux qui tremblent, sursautent sur le sol, font de petit bonds. Un tremblements de terre, une sorte de tremblement, un bruit sourd résonne à vos oreilles, emplit vos tympans, rythme vos battements cardiaques. Brutalement, vous relevez votre tête, voyant, au loin, de la fumée, épaisse, soulevée par le galop effréné et sauvage d’une troupe de démon. Les cris de guerre s’entendent, un ordre transperce ce brouhaha incessant jusqu’à vos oreilles. Quelques mots…
    « Tuez-les tous !! »

Alors, instinctivement, vous vous retournez, vous voyez ces enfants pris de panique et de peur, un cri déchirant de leur mère vous fait grimacer de douleur, tandis que la malheureuse se jette sur sa progéniture. Les démons déboulent alors dans le plus grand des vacarmes, assourdissant bruit des sabots des Knirffs de guerre et autres montures improvisées. Vous ne pouvez pas bouger, tétanisé devant le destin. Deux démons se détachent de la troupe, sortent des épées, dans un ricanement malsains, ils arment leurs épées, et passent juste à côté de la femme qui n’a pas put bougé, tenant contre elle ses enfants.
Le métal siffle, transperce l’air et le sang gicle sur le sol. Le ricanement remplis de sadisme des démons parvint à vos oreilles, tandis que vous sentez un malaise vous prendre. Votre corps s’engourdit brutalement, vous tombez sur le sol, votre dernière vision sera ce village incendié, ces corps tués, tranchés, découpés, ces femmes violées tout comme ses enfants.
Vous vous réveillez, quelqu’un vous secoue, vous ouvrez les yeux, tombant nez à nez avec un vampire borgne. Il vous ordonne de vous lever, vous vous exécutez. Puis, une douleur intense à votre flan gauche vous fait grimacer. Lâchant un jurons contre cette plaie que vous découvrez, vos yeux s’écarquillent devant votre main dégoulinant de votre sang. Vos yeux se tournent vers le vampire en face de vous, il se lèche les babines, votre visage se déforme d’abord sous l’incompréhension, puis de peur, d’inquiétude. La colère ne vous effleure même pas, tandis que vous essayez de stopper l’hémorragie et de repousser ce vampire alléché et affamé par le sang dégoulinant de cette plaie béante rouverte.
Le vampire s’avance, de sa démarche effrayante, lente, assurée, il se lèche encore et encore les babines, vous dévore des yeux littéralement. Il vous coince contre un mur, vous lui ordonnez d’arrêter, vous avez peur, vous avez des palpitations et les battements de votre cœur semblent s’esouffler lorsque que le vampire plante ses crocs blanc ivoire dans votre cou. Dans un bruit désagréable de suction, il vous aspire tout votre sang et avant même qu’une once de douleur vous effleure, votre corps s’engourdit de nouveau, votre regard se perd sur un plafond miteux avant de se fermer doucement… Vous sombrez de nouveau… Vers un autre royaume.
Dans la plus grande bibliothèque de ce monde que vous explorez, vous marchez doucement, lentement, les yeux dans le vague, vous regardez machinalement quelques personnes, quelques étagères de livres bien rangés, quelques elfes en train de lire, quelques personnes en train de chercher des informations. Vous êtes vêtu d’une lourde cape brune et sous cette cape, votre main droite se referme sur le manche d’une arme à feu, vous avez une cible à éliminer et vous vous approchez d’elle d’un pas téméraire et, sûr de vous, vous vous rapprochez doucement, lentement, entendant dans votre tête une étrange musique macabre rythmant vos pas. Vous vous arrêtez près d’un elfe vêtu d’habits richement brodé. Vous le regardez un instants, un sourire démentiel et carnassier déforme votre visage…
L’elfe lève la tête vers vous, et ses yeux tombent nez à nez avec le canon de votre arme à feu, il ne peut rien entendre, rien dire, que son corps s’arrache du sol, fait voler la chaise sur lequel il était assis. Quand le corps de l’elfe retouche le sol, le crâne est parti en bouillie, explosé. Vous sifflez doucement, heureux de votre travail, tandis que sang, bouts de cervelle, œil et autres composant d’un crâne elfique se déversent sur le sol de la bibliothèque. Vous entendez des bruits de pas précipités, vous vous retournez vivement avant de vous mettre à courir pour échappez à l’armée elfique et les gardes.
Vous arrivez à vous évader, et dans la nuit avec l’astre lunaire pour veiller sur vous, vous vous dirigez vers une auberge, vous entrez par une fenêtre, une femme vous attend, là, elle vous sourit doucement, s’approche de vous, pose une main sur vous. D’un sourire charmeur, elle vous captive, elle se dresse à votre hauteur et s’empare de vos lèvres, vous poussant doucement vers un mur. Vos bras se referment sur cette jeune femme, votre amour éclate pendant une nuit de folie, tendre et chaude nuit pendant laquelle vous oubliez votre acte de barbarie.
Même dans la haine, il y a l’amour, même dans la mort, il y a la vie, même dans le sang, il y aura vos sentiments. Mais n’oubliez jamais que, quoiqu’il arrive, quoique vous fassiez, vous mourrez un jour. Et que, dans ce monde que vous visitez, la plus belle mort est celle donné par autrui.
Vos yeux quittent ce monde, votre corps est extirpé de cette fin de nuit. Tournant la tête dans tout les sens, vous vous retrouvez de nouveau dans l’auberge des mondes, dans vos mains, la fin de la carte des royaumes de Freesby. Une femme entre dans l’auberge, pensif et refermant la carte, vous ne remarquez pas qu’elle vous cherche. Cette femme arrive vers vous, elle se penche vers vous, pose ses mains sur votre table et d’une voie mélodieuse s’adresse à vous, captive votre attention. Ce visage fin, ses traits léger et ses cheveux bruns vous emprisonnent et vous ne pouvez pas détourner le regard de cette personne.
    « Alors… Vous venez ? »


J'attend vos avis avec impatience ! x3

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